La danse traditionnelle kanak
Depuis la nuit des temps, la danse ont toujours eu leur place dans la société kanak, elle plusieurs vocations telles que la "spirutualités", les moment festifs ou guerrière. Ces danse sont rythmé par une cadence provoqué par le sons de marteriaux naturels et ils sont souvent accompagnées par de vieux chant en langue parlé en Nouelle Calédonie.
Parmis ces danses, on distingue deux principaux : le Pilou et le Tchap,
Le Pilou:
est une danse de partage et de rencontre. Elle invite les personnes (de toutes ethnies et de toutes origines) à se rassembler et à danser en cercle autour d'un poteau cérémoniel. En principe, une personne âgée ou de grande responsabilité (chef de clan, porte parole…) devra se poster en hauteur au niveau du poteau et cadencera le rythme de la danse avec un chant. Le but principal est un appel à la cohésion et la convivialité. Le Pilou se danse principalement en grande terre.
Le Tchap:
Le tchap est une danse guerrière décrivant les combats et les mouvements d’intimidation du guerrier et au travers de geste brusque et souplesse, accompagné par des chants. La force de cette danse se réside dans le rythme saccadé des bambous frappés et l’émotion dégagés par les danseurs. La cohésion de deux facteurs rend la danse extraordinaire, la pression et le gout du combat se fait sentir. Ils sont en cohésion avec les esprits. Le Tchap dansé que sur les îles loyautés ( Drehu, Négone, Iaai et îles des pins)
La danse au travers du sport
Depuis 2011, les athlètes calédoniens utilisent la danse traditionnelles (le Tchap) dans chaque compétition sportives comme leurs voisins néo zélandé (Haka) pour impressioner et intimider leurs adversaires.